si les portes de la perception étaient nettoyées, toute chose apparaîtrait à l’homme telle qu’elle est, infinie.
  
William Blake
Lezarts
Videos S. Robic
Divers

Sixties Memory.

Fernand Pena invité par Sixties Memory pour leur 10 ans au Petit Journal Montparnasse à Paris.

http://youtu.be/TxvGr7al0CI?si=qfJTR_3m-o4C-B-x

Fernand Pena - Puzzle 
LE TROU DANS LE CIEL
http://youtu.be/2f8oJ11Z004?si=AD06rhM5zq_1aKZt
Puzzle_1.jpg

Visites

 888425 visiteurs

 7 visiteurs en ligne

TOME 2 - 08 Fayette

 Fayette -   Let the Brothels of Paris be opened
From the note book about 1792-1793

Pages-3839-Fayette-12-2fev16-FIN.jpg

Pages-4041-Fayette-34-2fev16-FIN.jpg

 

 

 

 

 

An old maid early – e’er I know
Vieille fille de bonne heure – avant de rien savoir
Ought but the love that on my groew;
En dehors de l’amour qui grandissait en moi;
And now I’m cover’d o’er & o’er
Maintent, j’en suis imprégnè de part en part,
And wish that I had been a Whore.
Et je voudrais avoir été fille de joie.
O, I cannot, cannot find
O, je ne puis, non je ne puis avoir
The undaunted courage of a Virgin Mind,
Le courage indompté d’un Esprit virginal,
for Early I in love was crost,
Car j’ai été contrarié dans mon amour,
Before my flower of love was lost,
Avant même d’avoir perdu ma fleur d’amour.

 


“Let the Brothels of Paris be opened
Ouvrez tout grand les Bordels de Paris
With many an alluring dance
Avec mainte danse alléchante
To awake the Pestilence thro’ the city”
Pour éveiller la Peste dans Paris                           
Said the beautiful Queen of France.
Dit la superbe Reine de france
The King awoke on his couch of gold
Le Roi s’éveilla sur sa couche d’or
As soon as he heard these tidings told
Dés qu’il entendit la nouvelle :
“Arise & come both fife & drum
Entrez dans la danse, fifres et tambours,        
And the Famine shall eat both crust & crumb
Et que la famine mange jusqu’aux miettes.”         
Then he swore a great & solemn Oath:
Puis il émit ce grand voeu solennel :                             
“To kill the people I am loth
Tuer les gens ne me plait pas              
But If they rebel they must go to hell
Mais s’ils se rebellent, ils devront aller en Enfer :
They shall have a Priest & a passing bell.”
Ils auront un prêtre, ils auront un glas ; 
Then old Nobodaddy aloft
Alors le vieux Nobodydaddy (père de personne)               
Farted & belchd & coughd,
Péta, toussa, rota la-haut,
And said: “ I love hanging & drawing & quartering
et dit : “ J’aime qu’on pende et qu’on écartèle
“Every bit as well as war & slaughtering.
Comme j’aime la guerre et la boucherie.
”Dawn praying & singing,
Au diable prières et chants
”Unless they will bring in
s’il ne me rapportent
”The blood of ten thousand by fighting or swinging.”
le sang de milliers que l’on branche ou mène à la boucherie  

 

                       
The Queen of France just touchd this Globe,
La Reine de France effleura ce Globe
And the Pestilence darted from her robe
La peste aussitôt jaillit de sa robe;                       
But our good Queen quite grows to the ground
Mais notre bonne Reine se replante au sol :
And a great many suckers grow all around
Maints rejets gourmands l’environnent.        
Fayette beside King Lewis stood;
La Fayette debout près de lui;
He saw him sign his hand;
Il le vit signer de sa main;
And soon he saw the famine rage
et bientôt il vit la famine se répendre
About the fruitful land.
Sur cette terre féconde.
Fayette beheld the Queen to smile
La Fayette vit la Reine sourire
And wink her lovely eye;
et cligner de son oeil charmant;
And soon he saw the pestilence
et bientôt il vit la peste
From street to street to fly.
de rues en rues s’envoller.
Fayette beheld the King & Queen   
La Fayette vit le Roi et la Reine     
In curses & iron bound
En larmes et chargés de chaînes ;
But mute Fayette wept tear for tear
mais muet La Fayette verse larme pour larme
And guarded them around.
et il monta la garde autour d’eux
Fayette, Fayette, thou’rt bought & sold,
Fayette, Fayette, te voilà vendu et acheté
And sold is thy happy morrow
et vendu de même est ton heureux demain
Thou gavest the tears of Pity away
Tu as donné des larmes de pitié
In exchange for the tears of sorrow.
en échange de larmes de chagrin
Who will exchange his own fire side
Qui troquerait son coin de feu
For the stone of anothers door ?  
Contre la pierre du seuil d’un autre                               
Who will exchange his wheaten loaf
Qui troquerait sa miche de blé
For the links of a dungeon floor ?
contre les chaînes d’un donjon
O who would smile on the wintry seas
Oh, qui sourirait aux vagues hivernales
& Pity the stormy roar ?  
                                     Et prendrait en pitié la tempète hurlante                                       
Or who will exchange his new born child
Ou qui échangerait son enfant nouveau né
For the dog at the wintry door ?
Contre le chien à la porte l’hivers

 



A life mask of Lafayette when he was around 30 years old.

 

La participation de La Fayette à la Guerre d'indépendance des États-Unis (1775-1783) lui a valu une immense célébrité et une place symbolique pour avoir été le trait d'union entre les Américains et la France, lui valant d'être surnommé « le héros des deux mondes ». Et ce qui fait de La Fayette le symbole du soutien français aux insurgés d'Amérique, comme ce qui en fait la figure du héros romantique qu'on en conserve, c'est son jeune âge (19 ans) et les circonstances de son départ de France (sans l'autorisation officielle du roi encore favorable à la paix), finançant le voyage de ses propres deniers. Cependant, bien qu'il ait eu un rôle notable sur le plan militaire, celui-ci est moindre par rapport au bilan politique qu'il suscita.        
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gilbert_du_Motier_de_La_Fayette


Washington and Lafayette at Valley Forge

 

william-blake-prostituee-babylone.jpg

 

 

 

Blake est en colère contre La Fayette
Some time after Oct 25, 1792, when the London Times reported Lafayette a prisoner in Wezel, Austria.

 

Louis_XVI_and_Marie_Antoinette_Parmentier.jpg

Louis XVI, Marie Antoinette et Parmentier

 

page39-Fayette.jpg

 

Written upon two opposite pages of the MS. Book, and apparently abandoned unfinished. As it there stands, the rough draft exhibits a bewildering series of erasures, 
corrections, re-writings, and re-arrangements of lines into stanzas, and stanzas into various sequences, dealt with in detail in my previous edition of the Poems.
In the present text I have attempted to give, so far as it can be ascertained, the last form and order of the stanzas as indicated by Blake’s final revisions, with the earlier readings
in footnotes. 3 physicians] pestilence MS. 1st rdg. del. 8 famine] MS. 1st rdg. del.; but no word substituted. Followed in the MS. by the two erased stanzas: 
Then old Nobodaddy aloft  /  … and belched and cough’d, And said ‘I love hanging and drawing and quartering  /  Every bit as well as war and slaughtering. / 
Damn praying and singing, / Unless they will bring in

http://www.bartleby.com/235/108.html

 

page40full.jpg

 

 

Lafayette.png

La Fayette

Nombreux sont ceux qui savent que la fête nationale française commémore la prise de la Bastille 14 juillet 1789. Plus rares sont ceux qui savent que l’on célèbre aussi le 14 juillet 1790. Ce jour-là, le général La Fayette, qui avait obtenu la ratification de la Constitution par Louis XVI, avait invité tous les Français à se rassembler au Champ-de-Mars pour une grande fête nationale appelée Fête de la Fédération. La France s’était dotée d’une constitution anti-absolutiste, elle avait abandonnée l’économie dirigée, elle avait rétabli des impôts équitables et la garantie des libertés individuelles. La Constitution avait instauré un système représentatif. Le pouvoir législatif était confié à une Assemblée permanente. Le gouvernement de la France restait monarchique, la personne du roi était inviolable et son rôle était modérateur. Le roi gardait le pouvoir exécutif avec droit de choisir et de révoquer les ministres ainsi qu’un droit de veto sur toutes les décisions de l’Assemblée.

La Fayette, voulait que cette commémoration du 14 juillet soit une fête de l’unité retrouvée de tous les Français. Ainsi, le 14 juillet n’est pas d’abord la date de la prise de la Bastille mais celle de la Fête de la Fédération et donc de la monarchie constitutionnelle.

En tête du défilé des délégations se trouvait Thomas Paine, l’ami de La Fayette et l’auteur du livre qui a déclenché la révolution des colonies américaines : Le Sens Commun. Dans ses mémoires La Fayette écrit:
"...... il y eut deux Révolutions françaises bien distinctes et même contradictoires : la révolution libérale de 1789 et la révolution jacobine de 1793, qui conduisit à la formation de l’État totalitaire. La Fayette fut pour l’une et contre l’autre."


 

 

 

The French Revolution
LONDON:

Printed for J. Johnson, No 72,
St Paul's Church-yard. MDCCXCI.

" Sudden as the bullet wrapp'd in his fire, when brazen cannons rage in the field,
Fayette sprung from his seat saying 'Ready!' Then bowing like clouds, man toward man, the Assembly
Like a Council of Ardours seated in clouds, bending over the cities of men,
And over the armies of strife, where their children are marshall'd together to battle,
They murmuring divide; while the wind sleeps beneath, and the numbers are counted in silence,
While they vote the removal of War, and the pestilence weighs his red wings in the sky.

So Fayette stood silent among the Assembly, and the votes were given, and the numbers numb'red;
And the vote was that Fayette should order the army to remove ten miles from Paris.
The aged Sun rises appall'd from dark mountains, and gleams a dusky beam
On Fayette; but on the whole army a shadow, for a cloud on the eastern hills
Hover'd, and stretch'd across the city, and across the army, and across the Louvre.
Like a flame of fire he stood before dark ranks, and before expecting captains:
On pestilent vapours around him flow frequent spectres of religious men, weeping
In winds; driven out of the abbeys, their naked souls shiver in keen open air;
Driven out by the fiery cloud of Voltaire, and thund'rous rocks of Rousseau,
They dash like foam against the ridges of the army, uttering a faint feeble cry.

Gleams of fire streak the heavens, and of sulphur the earth, from Fayette as he lifted his hand;
But silent he stood, till all the officers rush round him like waves
Round the shore of France, in day of the British flag, when heavy cannons
Affright the coasts, and the peasant looks over the sea and wipes a tear:
Over his head the soul of Voltaire shone fiery; and over the army Rousseau his white cloud
Unfolded, on souls of war, living terrors, silent list'ning toward Fayette.
His voice loud inspir'd by liberty, and by spirits of the dead, thus thunder'd: --

'The Nation's Assembly command that the Army remove ten miles from Paris;
Nor a soldier be seen in road or in field, till the Nation command return.'
Rushing along iron ranks glittering, the officers each to his station
Depart, and the stern captain strokes his proud steed, and in front of his solid ranks
Waits the sound of trumpet; captains of foot stand each by his cloudy drum:
Then the drum beats, and the steely ranks move, and trumpets rejoice in the sky.
Dark cavalry, like clouds fraught with thunder, ascend on the hills, and bright infantry, rank
Behind rank, to the soul-shaking drum and shrill fife, along the roads glitter like fire.
The noise of trampling, the wind of trumpets, smote the Palace walls with a blast.
Pale and cold sat the King in midst of his Peers, and his noble heart sunk, and his pulses
Suspended their motion; a darkness crept over his eyelids, and chill cold sweat
Sat round his brows faded in faint death; his Peers pale like mountains of the dead,
Cover'd with dews of night, groaning, shaking forests and floods. The cold newt,
And snake, and damp toad on the kingly foot crawl, or croak on the awful knee,
Shedding their slime; in folds of the robe the crown'd adder builds and hisses
From stony brows: shaken the forests of France, sick the kings of the nations,
And the bottoms of the world were open'd, and the graves of archangels unseal'd:
The enormous dead lift up their pale fires and look over the rocky cliffs.
A faint heat from their fires reviv'd the cold Louvre; the frozen blood reflow'd.
Awful uprose the King; him the Peers follow'd; they saw the courts of the Palace
Forsaken, and Paris without a soldier, silent. For the noise was gone up
And follow'd the army; and the Senate in peace sat beneath morning's beam."

 

frenchrevolution.png

 

A couple of us at the Blake Archive have taken on Blake’s 1791 poem French Revolution as a new typographic project. We use many of the same principles established in early publications of typographic works. Thus, after working out some important typographic questions on the Descriptive Catalog, the French Revolution transcription appears to be fairly straightforward.

What is perhaps more interesting about the poem French Revolution is the history of the work itself. In honor of the recent passing of Bastille Day (July 14th) a blog post of the publication history (or lack of publication history) of this work seemed timely.
Blake originally intended for the work to be seven books, yet only the first book survives. This first book is available in proof form, as it appears it was set in type in 1791 but never actually published by its printer, Joseph Johnson. There is only one known surviving copy of the original proofs, housed in the Huntington Library, who has shared the proofs with us.
There is a great deal of conjecture but little historical evidence as to why the first book was never published. Supporters of the French Revolution, like Joseph Johnson, faced increasing pressure at home, which might have stalled the printing. The rising violence of the Revolution spurred public debates in England, which also made some of its early supporters increasingly uneasy and might have influenced publication.
Because of its unfinished state, Blake’s French Revolution virtually disappeared from public view/interest in the 20th century. More recently, the poem has been transcribed by both Bentley and Erdman, but our publication will be the first transcription that pairs images from the Huntington with digital transcription. Thus, finally bringing Blake’s unpublished work to the public.

 

the_french_revolution.jpg

http://fr.slideshare.net/bhewes/mod-c-into-the-world

 

Soudain comme le boulet enrobé de son feu quand les canons de bronze font rage sur le terrain,
La Fayette bondit de son siège en disant "Je suis prêt !" Alors, ses membres s'inclinant l'un vers l'autre comme des nuages, l'Assemblée
Tel un conseil d'ardeurs qui siègerait dans les nuages, se penchant sur les villes
Des hommes et les armées en lutte, où leurs enfants sont rangés en ordre de bataille,
Murmure et se divise ; tandis qu'au-dessous le vent dort et qu'en silence est fait le compte des nombres,
Tandis qu'ils votent l'éloignement de la Guerre et que la peste au ciel suspend ses ailes rouges.

La Fayette, donc, se tint en silence au milieu de l'Assemblée, et les votes furent émis et les voix dénombrées ;
Et le vote décida que La Fayette ordonnerait à l'armée de s'éloigner à dix milles de Paris.
Le vieux soleil se lève dans l'effroi d'entre les sombres montagnes et jette un obscur rayon
Sur La Fayette ; mais sur toute l'armée planait une ombre, car sur les collines de l'Orient un nuage
Flottait et s'éployait par-dessus la cité et par-dessus l'armée et par-dessus le Louvre.
Tel un feu flamboyant, La Fayette se dressa devant les sombres rangs et les capitaines en attente :
Autour de lui, sur des vapeurs pestilentielles, flottaient en grand nombre les spectres de religieux, pleurant
Dans la rafale ; chassées des abbayes, leurs âmes nues grelottaient dans l'air vif ;
Chassées par la nuée ardente de Voltaire et les rochers orageux de Rousseau,
elles se jettent comme de l'écume contre les files martiales, poussant un faible cri chétif.

Des traits de feu strièrent les cieux, et des traits de soufre la terre, jaillis de La Fayette lorsqu'il leva la main ;
Mails il resta là en silence, jusqu'à ce que les officiers se fussent tous rués autour de lui comme les vagues
Autour du rivage de la France, au jour du pavillon anglais, lorsque des canons lourds
Epouvantent les côtes et que le paysan, après avoir scruté la mer, essuie un pleur :
Au-dessus de sa tête, l'âme de Voltaire brillait ardente ; et Rousseau déployait au-dessus de l'armée
Son blanc nuage sur les âmes guerrières, terreurs vivantes qui muettes écoutaient, tournées vers La Fayette.
Sa voix punissante qu'inspiraient la liberté et les esprits des morts, ainsi tonna :

"L'Assemblée de la Nation ordonne que l'Armée s'éloigne à dix milles de Paris ;
Qu'on ne voie pas un seul soldat aux champs ni sur les routes avant que la Nation n'ordonne leur retour."
En hâte, le long des rangs d'acier étincelants, les officiers regagnent
Leurs postes, et le sévère capitaine caresse son fier coursier et devant ses troupes massives
Attend le son de la trompette : les capitaines d'infanterie attendent chacun auprès de son nuageux tambour :
Puis les tambours battent, les rangs d'acier s'ébranlent et les trompettent mènent joie dans le ciel.
La sombre cavalerie, telles de lourdes nuées d'orage, gravit les collines, et l'infanterie éclatante, rang
Après rang, au son bouleversant pour l'âme du tambour et du fifre aigu, étincelle comme du feu le long des routes.
Le bruit du sol piétiné, le vent des trompettes, frappèrent en rafale les murs du Palais.
Froid et blême, le Roi siégeait au milieu de ses pairs, son noble cœur défaillait, son pouls cessait
De battre ; les ténèbres gagnaient ses paupières et une sueur glaciale
Enveloppait son front que fanait une faiblesse mortelle ; ses pairs étaient pâles comme les montagnes des morts
Couvertes de rosées nocturnes, gémissantes, secouant leurs forêts et leurs eaux. Le froid lézard
Et le serpent et l'humide crapaud rampent sur le pied royal ou coassent sur l'auguste genou,
Crachant leur bave ; dans les plis de sa robe, la vipère couronnée bâtit, et elle siffle
Sur ses tempes de marbre. Tremblantes les forêts de France, malades les rois des nations.
Et les fondements du monde se sont ouverts, et les tombes des archanges se sont descellées :
Les morts énormes élèvent leurs feux pâles et regardent par-dessus les falaises rocheuses.

Un semblant de chaleur qui venait de leurs feux ranima le froid Louvre ; le sang gelé se remit à couler.
redoutable, le Roi se leva ; les pairs le suivirent ; les cours du Palais leur apparurent
Désertes, et Paris sans un soldat, silencieux ; car le bruit s'en était allé,
Suivant l'armée ; et le Sénat siégeait en paix sous les rayons de l'aube.

[trad. Pierre Leyris, ed. Aubier-Flammarion]     

       William_Blake_after_Ryley_French_Revolution_1793.jpg

William Blake after Ryley French Revolution fot T Bellamy Pictoresque Magazine 1793

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Date de création : 01/04/2015 @ 12:38
Dernière modification : 14/02/2016 @ 18:37
Catégorie : TOME 2
Page lue 7286 fois

Imprimer l'article Imprimer l'article

Réactions à cet article

Personne n'a encore laissé de commentaire.
Soyez donc le premier !

      
NEWS
 
 
 
 
Concert
Chez "Michto"
double clic plein écran
 
 
la dernière vidéo:
Sacs à dos, Tahiti
et Noix de coco
 
Fernand sing
at Tate Britain, London
 
fer_tate_1.jpg

William Blake,
253th Birtday Anniversary
 
 
logo_mat_informatique.jpg
Achetez d'occase
chez de gens sérieux.
C'est résister
à l'obsolescence  programmée

 
Les disques

 

 

Different Path

Couverture_livret.jpg

          Ecoutez l'album:
   https://odetowilliamblake.
bandcamp.com/album/different-path

 
Ode to William blake Volume 2
Jaquette_volume_2_recto.jpg
 
 
Ode to William Blake Volume 1
                      jaquette_Blake_petit.jpg

 

 

Equalizer_04.gif

Ecoutez l'album !
Achetez l'album (courrier)
par PayPal


20€ frais de port inclus

 

Rien à comprendre


Rien à comprendre  

Equalizer_04.gifEcoutez l'album !
Achetez l'album (courrier)
par PayPal

15€ frais de port inclus
Le coffret Ode to Willam Blake+ le disque Rien à comprendre (25€ frais de port inclus)

Petites réflexions

 

Interview :

 Old man look at my life,
I'm a lot like you were. (N. Young)

 

W3C CSS Skins Papinou © 2007 - Licence Creative Commons
^ Haut ^